Dans son Traité des excitants modernes, en 1838, Honoré de Balzac comparait déjà les effets néfastes pour l'organisme du café, du thé, de l'alcool, du tabac... et du sucre !
La lecture de ce petit texte acerbe est un régal. Quand certains éléments sont encore modernes, d'autres ont moins bien vieilli. Par exemple, tester combien de temps trois condamnés à mort vont vivre en se nourrissant exclusivement de café, de chocolat ou de thé semble aujourd'hui quelque peu difficile à appréhender...
Balzac était lui-même un énorme consommateur de café - à hauteur de 50 par jour selon la légende. Il affirmait que cela stimulait son imagination et sa concentration...