Droit à l’erreur : quand se méprendre rime avec apprendre

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Même l’administration fiscale en a pris conscience avec oups.gouv.fr : les erreurs font partie de notre quotidien. Cependant, leur mauvaise réputation ne doit pas faire oublier qu’elles sont indispensables au bon fonctionnement de notre cerveau. Les études ont prouvé que nous commettons en moyenne deux à cinq erreurs par heure, soit une part infime de la quantité d’informations que le cerveau traite en permanence.

L’erreur - qu’elle soit d’inattention, de méthode ou autre - représente un écart par rapport aux attentes du cerveau. Quand elle se produit, elle met alors le cerveau dans un état d’attention important (un “moment d’étonnement”), ce qui en fait un bon moment pour apprendre.

En formation, l’utilisation des erreurs nécessite la mise en place d’un cadre bienveillant et explisite. L’erreur peut ensuite être utilisée pour comprendre les schémas de réflexion des apprenants et les aider vers un meilleur apprentissage.

PS : une faute d’orthographe - complète erreur d’inattention de notre part - s’est glissée dans ce paragraphe, saurez-vous la retrouver ?

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