Le cerveau du solo

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Alors que la solitude est souvent décrite comme un mal à éviter dans notre société, une récente étude de l'Université de Cambridge a montré que celle-ci peut être très bénéfique pour le cerveau, lorsqu'elle est choisie.

Ainsi, lorsqu'on choisit volontairement de s'extraire des relations sociales pendant une quinzaine de minutes, on bénéficie d'un "effet de désactivation" qui calme le cerveau et favorise la créativité.

Cependant, il existe une limite au-delà de laquelle la solitude ne saurait jouer un rôle positif : un prisonnier à l'isolement par exemple, privé de contacts sociaux contre son gré, ne sera pas concerné.

Pour aller plus loin, une autre étude a prouvé que les solitaires ont un cerveau différent des autres, avec des connexions plus intenses et plus de matière grise où se déroule le stockage des informations...

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